A l’ennemi qui ne m’a pas laissé le temps de le tuer (Moires, septembre 2019).
Le narrateur, atteint d’une anomalie physique, est l’objet d’insultes sur les réseaux sociaux par une personne de sa connaissance dont autrefois il fut l’adversaire éconduit. Choqué par la nouvelle de sa mort qui ne lui permet plus de mener jusqu’à son terme le châtiment qu’il lui réservait, il s’enferme dans ses obsessions et décide malgré tout d’assouvir sa soif de vengeance.
Renaud Cojo a grandi à Villenave d’Ornon. Comédien, metteur en scène, auteur, il suit des études de sociologie puis rencontre le théâtre grâce à la musique.