Vit à Bordeaux. Seulement la vie, tu sais (R. de Surtis, 2012) : un train et un tram se croisent. L’un emporte un homme, l’autre une femme. Entre les deux, une corde invisible, sur laquelle sont suspendus leurs rêves, leurs peurs, leurs doutes et leur amour. Le paysage urbain devient paysage humain. Les mots, hauts en couleur, se glissent sur fond de vie(s) en noir et blanc.